Un prêtre Augustin Récollet de l'église Sant Ildefonso e
Tomasso Villanova, via Sistina, Rome, était hier d'accord avec moi. Il a dit
que le Concile Vatican II a une continuité avec le passé. Ce n'était pas une
rupture. Le prêtre augustin récollet de cette église, qui abrite également un
séminaire, interprète rationnellement le Concile. Il y a donc continuité
avec la Tradition catholique.
Les Augustins interprètent
Lumen Gentium 8, Lumen Gentium 14, Lumen Gentium 16, Unitatis Redintigratio 3,
Nostra Aetate 2, Gaudium et Specs 22 etc dans le Concile Vatican II comme étant
des cas hypothétiques et physiquement invisibles seulement en 1965-2023. C'est
du bon sens. Ainsi, Lumen Gentium 8, etc. ne sont pas des exceptions pratiques
pour le Credo d'Athanase et le Syllabus des Erreurs du Pape Pie IX. Lumen Gentium 8, Lumen Gentium 14, Lumen Gentium 16 etc, ne
contredisent pas l'ecclésiocentrisme passé de l'Église catholique. Il y a
continuité avec la théologie de saint Ildefonse et de saint Tommasso de
Villanova.
Les Augustins affirment
également le Catéchisme de l'Église catholique 846 etc. Il dit qu'en dehors de
l'Église il n'y a pas de salut, l'Église catholique est comme la seule Arche de
Noé qui sauve dans le déluge et Dieu le Père veut que tous les hommes soient
unis dans le Église catholique (CEC 845, 846). C'est l'enseignement officiel de
l'Église catholique aujourd'hui selon les Documents du Magistère. Il est
approuvé par le Vatican.
Saint Augustin d'Hippone a
tenu l'interprétation stricte du dogme extra ecclesiam nulla salus, tout comme
les saints Ildefonso et Tomasso di Villanova.
Les Augustins indiquent
aujourd'hui que l'époque où l'on disait que le Concile Vatican II est une
rupture avec la Tradition est révolue. -Lionel Andrades
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