C'est comme arroser les racines d'une plante ou d'un arbre. D'un simple geste, une seule action, l'arbre entier est nourri - branches, feuilles, racines, etc. De la même manière, en choisissant la prémisse rationnelle, nous retournons dans le passé dans la foi et la morale, la liturgie, la mission, l'ecclésiologie, etc.

 

C'est comme arroser les racines d'une plante ou d'un arbre. D'un simple pas, d'une seule action, tout l'arbre est nourri - branches, feuilles, racines etc. De la même manière, en choisissant la prémisse rationnelle, nous retournons dans le passé dans la foi et la morale, la liturgie, la mission, l'ecclésiologie, etc.

Maintenant, nous savons. Nous avons l'information. Nous savons comment faire. Nous savons comment le répéter. 

Nous interprétons simplement Lumen Gentium 8 etc rationnellement. Puis nous revenons à l'ecclésiologie de l'ancienne liturgie. 

Nous revenons à la mission traditionnelle basée sur le salut exclusif dans l'Église catholique. Puisqu'il n'y a pas d'exceptions dans le Concile Vatican II pour l'ecclésiocentrisme passé de l'Église. 

Le Concile Vatican II soutient l'interprétation stricte du dogme extra ecclesiam nulla salus (EENS). Il le fait dans Lumen Gentium 14 qui est cité dans le Catéchisme de l'Église catholique 846 (hors de l'Église il n'y a pas de salut). Alors que les cas hypothétiques de LG 8 etc ne sont pas des exceptions pratiques pour EENS et CCC 846, en 2023. 

Une seule étape est nécessaire.

Nous revenons à la théologie passée. La nouvelle théologie a été produite avec la fausse prémisse, la fausse inférence et donc la conclusion non traditionnelle. 

Avec extra ecclesiam nulla salus intact et identique à ce qu'il était pour les missionnaires au XVIe siècle, nous pouvons désormais proclamer le Règne social du Christ-Roi dans toutes les politiques. Toute législation politique doit avoir Jésus, Dieu, comme centre. C'est Jésus comme il est connu dans l'Église catholique. 

Nous revenons donc au vieil œcuménisme du retour puisque le Concile Vatican II dit que tous ont besoin de la foi et du baptême pour le salut. Tous. (Ad Gentes 7). 

Tout cela est possible avec un seul geste simple : interpréter rationnellement le Concile Vatican II. Un seul pas suffit. 

UNE SEULE ACTION EST NÉCESSAIRE

 Nous revenons à l'Église Catholique d'avant 1949 dans la foi et la morale. Puisqu'il n'y a pas de salut connu en dehors de l'Église. Il ne peut y avoir de nouvelle théologie morale.

Nous ne pouvons utiliser que l'ancien Missel romain puisqu'il n'a pas son fondement dans le Concile Vatican II (irrationnel). Les papes n'ont qu'à être traditionalistes. Depuis le Concile Vatican II n'est plus une rupture avec le Syllabus des Erreurs, le Credo d'Athanase et le reste de la Tradition. 

Le droit canonique exige qu'un pape suive tous les enseignements de l'Église Catholique et les exprime en public. Avec le Concile Vatican II (rationnel), le Pape François doit affirmer le Syllabus des Erreurs et les Catéchismes de Trente et Pie X. 

Tout cela passe par un geste simple : on ne confond pas l'invisible et le visible dans le Concile Vatican II. Nous savons qu'il n'y a « aucun cas explicite de baptême de désir implicite de saint Thomas d'Aquin ». Il n'y a « aucun cas littéral » de non-catholiques sauvés dans une ignorance invincible. Il y a « zéro cas » de LG 14 et LG 16 dans notre réalité. Nous avons trouvé le chaînon manquant, ce qui crée une rupture avec la Tradition. Nous savons maintenant comment l'éviter. Nous évitons toujours la fausse prémisse. 

Avec cette manière correcte de voir le Concile ; cette réinterprétation du Concile, de toute l'Église ; la principale l'Église, revient immédiatement au passé. 

Une simple action suffit. Une seule étape suffit. C'est facile, gratuit et traditionnel. C'est agréable, comme arroser les racines d'un arbre.- Lionel Andrades